ART FAREINS

La Biennale ArtFareins 2023

La cinquième Biennale ArtFareins de sculpture contemporaine, c’est en juin-juillet 2023 dans les parcs du Val de Saône !


À NOTER : Le symposium, Philippe Pousset et Paty Sonville, se termine le dimanche 11 juin, il ne reste que la semaine prochaine et le week-end prochain pour les voir.

IMPORTANT : Le 17 juin avec la fête des écoles, la visite risque d’être perturbée et les 250 tortues ne seront pas visibles.


Les artistes, les organisateurs, les bénévoles et nos partenaires publics et privés sont au rendez-vous. Dès le 3 juin et jusqu’au 16 juillet, le public est attendu pour renouer avec l’émotion et le bonheur de la création. Comme toujours l’accès est libre et gratuit : les samedis et dimanches entre 11.00 et 19.00 au Château de Fareins au centre du village (Château Bouchet) et pour les groupes, sur demande en semaine.
Cette nouvelle édition 2023 rend particulièrement hommage à deux sculpteurs : RACHID KHIMOUNE et MICHEL LUCOTTE.

Autour d’eux, est présentée une sélection de vingt-sept autres artistes, toujours choisis avec la même exigence de qualité et de diversité de style. Citons parmi eux Joseph Ciesla, Françoise Giannesini, Olivier Giroud, Vincent Gontier, Philippe Gourier, Serge Landois…. Un symposium in situ pendant la première quinzaine de juin, réunira plusieurs artistes dont (Philippe Pousset, Paty Sonville et Mathilde Pénicaud), cette dernière travaillant avec les enfants de l’école de Fareins. Le symposium débutera après l’inauguration. Il permettra au public de voir évoluer les œuvres en cours de création. Comme les précédentes, cette biennale constituera une expérience singulière. Elle a pris toute sa place dans le paysage culturel de notre région.

Rappelons nos objectifs

Pourquoi la sculpture ? En trois dimensions (ou plus), elle trouve naturellement sa place dans l’espace et le structure. On tourne autour, on passe dessus ou dessous. Elle peut bouger. Monumentale, on la voit de loin. Lumineuse, elle s’éveille la nuit. Quels que soient son style et même sa qualité, elle marque fortement l’espace public, notre espace à nous. On se croise à son ombre. On s’y retrouve. On y rêve. On s’y parle. On en parle. Par sa présence, s’instaure un dialogue entre nous et entre les cultures, et chacun y trouve un accès à ses propres capacités de sentir et de créer.

L’objectif premier d’Artfareins est de permettre à tous de découvrir la qualité et la diversité de la création contemporaine : enfants et adultes, simples promeneurs, amoureux des arts, mais aussi élus, partenaires, aménageurs... les sculptures présentées sont accessibles au plus grand nombre. Artfareins permet aux publics scolaires de construire un projet avec un artiste en résidence et de présenter une œuvre collective lors de chaque biennale. De nombreuses classes des villages environnants sont aussi accueillies et accompagnées lors des visites ainsi que des groupes de personnes en situation de handicap et de résidents de maison de retraite.

EN PRATIQUE

OUVERTURE DU 3 JUIN AU 16 JUILLET
Château de Fareins : Week-end et jours fériés. Entré libre et gratuite. 11h-19h.
Les autres lieux sont publics et libres d’accès dans les communes suivantes : Trévoux, Villefranche-sur-Saône, Fareins, Parcieux, Saint-Bernard et Saint-Jean-de-Thurigneux.

LES VISITES DE GROUPE EN SEMAINE (SUR RESERVATION)

  • pour les écoles : joindre Laurence Favier-Brolly 06 52 83 63 65
  • pour les maisons de retraite, personnes à mobilité réduite, groupes, joindre Jacky Pêcheur au 06 83 17 81 52

LE SYMPOSIUM 2023
Durant la première quinzaine de juin, deux artistes réalisent une œuvre dans le Parc du Château Bouchet à Fareins. Venez les visiter et échanger avec eux, tous les jours à partir de 17.00 ou en week-end.

UN SEUL SPECTACLE EST PREVU POUR LE MOMENT
Le samedi 1er juillet (20h) Le trio TATANKA donnera un concert dans le Parc du Château Bouchet de Fareins, à l’invitation de "Chien à trois pattes". Entrée payante.
"Trio de sioux pour envolées sauvages, qui déterre un jazz errant. La trompettiste Emmanuelle Legros emmène ses deux compères dans une contrée musicale aux espaces non défrichés. Sur de longues lignes mélodiques et claires, Guillaume Lavergne cavale au piano pendant que la batterie de Corentin Quemener s’affole dans de grandes courses indomptables. Les petites boites à musique et autres instruments-jouets de ce dernier apportent un vent de fraicheur à cette musique de « Tatanka », qui signifie bison en langue Sioux." (L’empreinte)

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