En résidence à Fareins - Parc du château Bouchet
Marc GERENTON
du 7 au 10 Juin puis du 5 au 14 Juillet
Je souhaite réaliser à grande échelle une sculpture en résine polyester et en matériaux de récupération ; relativement légère, cette sculpture pourra monter jusqu’à 7 mètres de hauteur et ne nécessitera pas d’engins de levage ni de dalle de béton pour être implantée.
Antoine JANOT
du 7 au 19 Juin
Réalisation d’un "arbre" en bois
Cet arbre en bois de récupération de 4 mètres de haut aux formes extraordinaires illustre l’incroyable diversité de la nature, où des troncs dessinent parfois des formes improbables, qui surprennent autant qu’elles interpellent. Les troncs et les branches ainsi entrelacées de manière organique s’entremêlent comme des racines, des veines ou encore des artères nouées entre elles. L’arbre est le cœur de la forêt, à la fois foyer et témoin d’un dialogue vivant. À l’instar de nombreuses espèces animales et végétales, les arbres communiquent et sont solidaires entre eux. C’est ainsi par le réseau racinaire que les arbres d’ une même espèce communiquent entre eux au sein d’une forêt, mais pas uniquement. La stratégie collective est de mise entre les congénères.
À la manière des oiseaux qui poussent des cris facilement reconnaissables lorsqu’un prédateur entre dans les parages, les arbres se préviennent mutuellement. Ils sont seulement plus lents, mais les informations passent des branches aux racines, via le tronc, et des racines à celles des autres arbres auxquels ils sont connectés. Le signal d’alarme, qui fonctionne comme une impulsion électrique, se transmet à raison d’un centimètre par minute. Les arbres sont les piliers d’un écosystème qu’ils défendent constamment.
C’est cette interconnexion du milieu naturel que je souhaite représenter à travers cette sculpture d’harmonie sauvage, ambassadrice d’une nature qui agit comme un organe, complexe et interdépendant.
Réalisée en métal, en bois sculpté dans d’anciennes poutres, ainsi qu’avec des branches naturellement courbées, la fabrication de “Destins croisés” s’inscrit dans une démarche respectueuse de l’environnement, alliant matériaux de récupération et revalorisation des déchets pour une cohabitation durable entre l’Homme et la Nature.
Dimension totale : 4m de haut, 4m de largeur
Jérôme LEYRE
du 7 Juin au 19/20 juin (date de fin estimative)
Réalisation d’une "hélice" en bois de construction
La Vis sans fin ou la Vie sans fin
La Vis sans fin est une structure inventée par les Grecs. Puis oubliée au Moyen-âge, elle réapparaît à la Renaissance grâce aux recherches de Léonard de Vinci. Rappelant les formes souples et sensuelles de la nature, aujourd’hui elle prend une place bien plus importante depuis la découverte de la structure d’ADN.
Le projet de « La vis sans fin ou la Vie sans fin » rappelle cette vision d’une forme existante et essentielle au développement du vivant, et que l’on sait percevoir depuis peu, grâce au progrès de la science.
C’est une structure que l’on reconnaît instinctivement, car le développement de la vie et la construction même de cette structure sont indissociables. Elle est à la frontière entre ce que l’on voit et l’invisible de la structure de toutes cellules vivantes. Plus qu’une frontière elle est le cœur du vivant seulement visible au microscope.
Ses proportions monumentales, démesurées procèdent à un changement d’échelle radical et a une forte résonnance sur le site. Ses formes douces et arrondies rappellent les lignes végétales et lui confère une intégration harmonieuse dans le paysage.
L’absence de socle inscrit mon travail dans le lieu et en paraît indissociable.
Durant l’été, la couleur des planches évoluera au gré des différentes lumières du jour.
La sculpture de la vis est une structure représentative de la mémoire et du temps, qui oscille entre statisme et rotation. Elle rappelle le mouvement sans fin de l’eau, mouvement permanent dans l’espace et le temps.
La vis sans fin reproduit l’énergie de la croissance du vivant ; une abstraction structurée qui reflète un ordre mis en œuvre dans la nature.
La Vis sans fin que je propose est réalisée en planches de bois.
Un assemblage de 300 planches vissées les unes aux autres et maintenues par un tube en acier pour en assurer l’axe.
Les planches sont décalées de façon régulière en leurs extrémités.
Dimension des planches :
longueur : 2,20 m - Largeur : 10 cm - épaisseur : 2 cm
Dimension de la sculpture :
5,70 m de long - Poids : 300 kg
David MANSOT
Résidence avec les enfants des écoles de Fareins
NON accessible au public
En résidence à Villefranche-sur-Saône - Parc de la maison Vermorel
Andres FIGUEROA
Du 7 au 21 juin
Réalisation en acier
Rencontre avec l’artiste Andres Figueroa à la maison Vermorel samedi 21 juin
RITES
Ce projet de sculpture publique cherche à s’intégrer organiquement dans l’ espace public, étant un objet qui permet l’interaction et crée un espace intérieur qui accueille le spectateur, ses vides permettent le passage de la lumière, générant des ombres qui complètent les contours de l’œuvre.
La nouvelle série que je développe cette année, différente de ce qui a été fait auparavant, s’appelle Rites et est réalisée avec l’intention de laisser dans l’espace public l’expérience que l’on peut vivre avec l’Art, afin que chaque personne ait son propre rituel. Ce que l’on a lorsqu’une œuvre d’art laisse sa marque sur une autre.
La sculpture est proposée en tôle de 2 ou 3mm, et en 4 mètres de largeur par 2 mètres de hauteur.
Fiche technique
Hauteur : 2 mètres
Largeur : 4 mètres
Profondeur : 2,5 mètres
Du ciment avec un pigment bleu sera appliqué sur le dessus.
Poids total approximatif 250 kilos
Finition : Rouille réalisée avec une patine chimique au sulfate de cuivre, scellée avec une laque transparente.
L’épaisseur de la sculpture est d’environ 10 centimètres et peut atteindre 20 centimètres.
En résidence à Reyrieux
Eric VIALLA alias TWEAK
Du 11 au 20 juin de 9h à 12h et de 14 à 18h
Inauguration de l’œuvre de l’artiste au Galet à Reyrieux vendredi 20 juin à 12 h 30
Réalisation en acier