Ghyslain Bertholon
Le samedi 07/06 à 14h30
Ghyslain Bertholon après des études en communication par l’image, a fait l’école des Beaux-Arts de Saint-Etienne, ville où il vit et travaille.
L’artiste échangera avec le public sur le lien que nous, « animaux humains » exerçons sur le reste de la nature.
Il regroupe depuis plus de 20 ans, sous le nom de Poézies, l’ensemble de ses réflexions et de son approche sensible sur ce que constitue notre environnement naturel, social et culturel.
La majorité de ses Poézies témoigne de sa sensibilité écologiste par l’étude des rapports de domination exercés par les Humains sur le reste de la Nature.
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Corinne Chauvet
Le samedi 07/06 et le dimanche 08/06 de 10h30 à 12h30
Histoire de rires en sculpture
Corinne Chauvet avec sa terre, explore le rire, le sourire et les jolies émotions humaines en s’inspirant de ses voyages en Asie.
Elle vous parlera devant sa sculpture "Un plus grand fou rire", de la naissance de cette œuvre monumentale et de son chemin de sculptrice pour arriver à exprimer la joie.
Elle nous amènera dans une rétrospective du rire et du sourire dans l’art et plus spécifiquement dans la sculpture, des Rakan japonais aux sculptures de Franz Xaver Messerschmidt jusqu’à celles de Juan Muñoz.
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Jean-Paul Moscovino
Le dimanche 08/06 à 14h30 et à 17h (2 séances) + présence toute la journée
Jean Paul Moscovino sculpte la couleur : il s’intéresse à la limite des formes, à ce qu’on voit.
Par le biais d’une recherche plastique qui réinvente le corps comme prétexte, l’artiste interroge les processus de fabrication de nos images, les illusions d’optique, les impressions de distance : on ne perçoit que des surfaces et Moscovino plie et déplie ce voile qui entoure chaque objet, cette interface entre forme pleine et forme vide.
La remise à plat de ces enveloppes et les techniques de pliage proches de l’origami géométrisent et disposent des plans de COULEUR dans l‘ESPACE.
« LA MATIERE ET LE VIDE N’EXISTENT QUE LORSQU’ILS SE RENCONTRENT »
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Marc Pedoux
Le samedi 14/06 à 15h et à 16h (2 séances)
Rencontre avec l’artiste, sa formation, son parcours.
Présentation de l’œuvre, analyse visuelle de l’installation en interaction avec le public, explication de la démarche.
Comment l’œuvre se situe dans l’histoire de la sculpture contemporaine, dans ses différentes formes, ses diversités, ses mouvements et catégories.
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Julien Clar
Le dimanche 15/06 à 14h30 et à 17h (2 séances)
Face aux mouvements de la vie et aux rythmes des battements des cœurs qui s’essoufflent, le Memento Mori est pour moi, un moyen direct et parfois brutal d’explorer la notion de « valeur de notre temps ». Conforté par ce doux vent qui apaise l’esprit, notre perception du monde phantasme une vérité alternative d’ombres projetées sur un mur.
Par le contraste du noir et du blanc, je provoque l’évidence à ne plus se dissimuler derrière un voile superficiel. Elle prend alors un sens inéluctable face aux fractures quotidiennes à travers la perte et la douleur qu’elle implique. Ce mécanisme questionne la conscience de la fragilité et de la vacuité de l’existence humaine.
Quelle place laisser à l’illusion face aux blessures du quotidien ? Comment la finitude de toutes choses, aux yeux de l’Homme, agit-elle comme un révélateur d’importance ?
DÉROULÉ DE LA RENCONTRE
1 - Présentation de l’artiste
Lieu de résidence / Parcours et formation / Atelier
2 -Technique et médiums utilisés
Mise en relation avec le savoir-faire. Méthode d’exploration et expression des différents médiums
3 - Présentation des œuvres exposées et introduction à la Démarche artistique (liens entre philosophie et expériences vécues) / petit tour des œuvres non exposées
4 - Échange avec le public / Questions
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Richard Gross
Le dimanche 22/06 présence toute la journée + 2 présentations à 14h30 et 17h30
“Observer, choisir les bois, les travailler en bas -reliefs et en rondes-bosses habillés de motifs teints… chercher un équilibre jusqu’à la forme finale.”
Les sculptures présentées sont mon hommage intime à la tradition ancestrale des Stèles.
Elles sont des objets ouverts sur la rêverie.
Elles se veulent connecter le calme et l’harmonie, une possibilité d’échapper au Temps.
Bienvenue dans une proposition d’Art Habitable
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Yves Henri
Le dimanche 29/06 à 16h30
Mon installation « RÊVES D’AVENIRS ».
ALAIN KERLAN philosophe et YVES HENRI installateur interviendront ensemble.
La rencontre proposée par le philosophe Alain Kerlan invite le public à réfléchir à cette transformation de l’art contemporain, à partir de l’immersion dans l’installation de l’artiste Yves Henri – dont il connaît assez bien l’œuvre et en a même été quelquefois le complice, élargissant le propos en s’interrogeant sur le sens et les conséquences de cette mutation esthétique, « de frontale devenue atmosphérique » comme l’écrit Yves Michaud, philosophe et spécialiste de l’esthétique.
L’artiste vous dira pourquoi cette réalisation a pris corps depuis le ventre de sa mère, en quoi, sans la présence de plus de trente contributions, d’enfants, d’amis, artistes et autres, ses poupons tout ronds peuvent enfin être porteurs d’avenirs.
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Arnaud Schneider
Le dimanche 06/07 de 11h à 18 h
11 h : 1er échange
12 h 30 : Pique-nique
14 h 30 : Présentation et échange
17 h : Dernière rencontre
Sculpteur autodidacte du Beaujolais, je travaille l’acier de réemploi, inspiré par le patrimoine bâti, les savoir-faire ancestraux et la force des éléments naturels.
À travers mes sculptures, je cherche à créer un dialogue vivant entre art contemporain et mémoire des lieux, où la douceur des courbes rencontre la puissance de l’acier.
Mon approche artistique est instinctive : je capte une ligne, une forme, un fragment d’histoire pour lui donner une nouvelle vie.
Chaque œuvre est façonnée entièrement à la main, avec la simplicité d’une meuleuse, d’un poste à souder, et l’inspiration des Muses.
Lors de la Biennale, je vous propose de venir à ma rencontre pour découvrir mon univers artistique, échanger sur la genèse de mes sculptures et partager les histoires qui nourrissent mon travail, notamment mes expériences de création aux États-Unis et en Inde, où j’ai réalisé des œuvres sur place.
Ces échanges seront aussi l’occasion de présenter le projet pédagogique réalisé avec les enfants de l’école primaire de Fareins, axé sur le réemploi des matériaux et l’utilisation de plantes peu gourmandes en eau.
Peut-être aurons-nous même la chance d’accueillir quelques jeunes artistes pour expliquer leur démarche !
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Mireille Belle
Le lundi 14/07 à 14h30 et 17h (2 séances)
Je n’ai pas choisi, le besoin de créer fait partie de moi et m’est vital comme une respiration.
Une formation en céramique aux beaux- arts m’a donné l’aisance de la terre, l’étude du modèle vivant a cerné les contours de mon sujet, l’Expression est mon terrain de jeu et d’exploration.
Sur le fil non tranquille de la vie, ma création parle de l’humain, d’un voyage temporaire dans un monde en mutation.
J’ai la terre pour matériau de prédilection, la résine est réservée aux grandes pièces, le bronze magnifie certaines de mes œuvres. Le bois, le métal, les assemblages, la neige, la glace, le sable et les installations en milieu naturel sont plus occasionnels.
Le monumental m’attire et mes œuvres sont créées d’entrée pour vivre et s’installer dans des lieux du quotidien.
Sculpteur professionnel, j’alterne salons, expos personnelles ou collectives, et symposiums pour le défi permanent et la richesse des échanges.
Vivantes, humaines dans leur geste suspendu, mes œuvres quittent ma rive pour aller à la rencontre du spectateur, dans un propos figuratif, expressif, lisible et accessible à tous...comme l’idée d’un temps de voyage partagé où se bousculent des émotions.
Chaque tentative, chaque création, est une expérience vers une contrée nouvelle, escapade souvent chaotique en l’absence d’un chemin tracé.
Alors … comme l’inconnu est immense et riche, que ma curiosité et mon envie sont intenses ...il me faut dès qu’un sentier prend fin en tenter un autre.
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Christophe Loyer
Le lundi 14/07 à 16h
LE CIRQUE PHILOSOPHIQUE a consisté, au départ, en un travail de sculptures légères et suspendues dans lesquelles des acrobates, humains et non humains, tracent des figures dans l’espace avec un fil qui les relie. Ces manipulations ont été d’emblée soumises à une loi dont la raison d’être reste énigmatique : ce fil forme à chaque fois une boucle, dont chaque acrobate modifie la trajectoire. Ces acrobates, quant à eux, sont apparus par séries successives de vingt à trente sujets, et dans des circonstances à chaque fois similaires : sur une île Méditerranéenne dans le laps de temps d’un mois. Leur façonnage a obéi, lui aussi, à des règles simples qui se sont imposées d’elles-mêmes, et cette origine commune aussi bien dans le temps, dans l’espace que dans le processus d’apparition a fait de chacune de ces séries une famille, une sorte de tribu soudée par ce vécu partagé. Les sculptures suspendues, assemblées dans les années qui ont suivi en obéissant aux contraintes imposées par les personnages eux-mêmes, pourraient, quoique de façon sans doute lacunaire, en illustrer les mythes et légendes.
Je reviendrai, en prenant appui sur les œuvres exposées au château de Fareins, sur ce processus créatif en deux temps, ainsi que sur quelques-unes des histoires fabuleuses qu’elles esquissent peut-être.
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